Schodz±ce kaczki
Schodz±cy s³onik

L'elephant et les canards descendent sur une peinte. Pendant le mouvement la position de leur centre de masse change. Les animaux descendent de la peinte en oscillant : ils ont seulement deux pattes et chacune se termine avec un pied rond. Ils glissent pas grâce au frottement des "pied" avec la surface de la peinte. Le pied antérieur de chaque jouet est attaché rigidement au corps, pendant que le pied posterieur est fixé sur un axe autour du quel il peut router d'un certain angle. Quand l'animal s'incline en avant appuyé sur le pied anterieur, celle posterieure fait un pas vite et la rejoint - maintenant on a une oscillation en arriere et puis en avant, ainsi la patte anterieure tombe dans un point différent de la peinte.

Ces jouets montrent la loi de conservation de l'énergie : leur énergie potentielle initielle se transforme dans énergie cinetique (pas beaucoup) et le reste est perdu par frottement.

Les jouets montrent aussi, que le mouvement uniformement acceleré, qu'on s'attend de voir sur une peinte, est seulement un modele. Dans la réalité, comme a déja remarqué Newton, dans chaque mouvement il y a dissipation, c'est-a-dire perte d'énergie - il y a des forces de frottement, resistence de l'air. En effet le mouvement, qui sans ces forces devrait etre acceleré, devient (dans des conditions stationnaires) un mouvement uniforme.
Les cannards et l'elephant sont donc presque anti-pedagogiques : mouvement sur une peinte, mais uniforme.