Mesureur d'intelligence
Une explication plus précise de la série de Volta est liée aux propriétés microscopiques de la matiere, exactement ŕ la grandeur appelée travail de ionisation. Chaque substance est caractérisée par une énergie différente nécessaire pour libérer que ce soit un électron, que ce soit un ion. Ŕ titre d'exemple, si l'on examine le lien (soudure, contact) de deux métaux différents, il en sorte que telle lien mene ŕ la naissance d'un champ de forces électromotrices. Cela dérive du fait que différents métaux ont des différents travaux de ionisation de l'électron, ce qui donne naissance ŕ une différence de potentiel dans les métaux sur leur point de contact.
Toutefois on ne peut pas utiliser un tel contact comme source de courant puisque, en fermant le circuit, c'est-ŕ-dire en reliant les deux autres extrémités des conducteurs métalliques, on forme un autre contact, dans lequel il se génere une force électromotrice qui compense exactement la premiere. Męme l'insertion dans le circuit d'un troisieme, ou d'un ultérieur nombre de conducteurs ne va pas causer un flux de courant dans le circuit fermé. Pour que un flux de courant soit possible dans tel circuit, il faut placer chaque contact ŕ différentes températures, puisque le travail de ionisation dépend largement de la température. Alors on appelle un tel systeme thermoélement.
Une autre façon d'utiliser le contact de deux conducteurs comme source de courant est l'utilisation de substances qui ont des différents porteurs de charge. On utilise dans ce cas des systemes de métaux et d'électrolytes. Dans le cas des métaux, les porteurs de charge sont les électrons, dans le cas des électrolytes - les ions. Le travail de ionisation est substitué dans ce cas par le concept de potentielle électrochimique.
Le schéma du mesureur d'IQ - un exemple de connexion entre plaques de Zn et de Cu (comme dans la pile de volta traditionnelle en conditions idéales - mains humides, on devrait mesurer une tension d'environ 70 mV).